
22/3 Journée mondiale de l'eau
Ce mardi c'était la journée mondiale de l'eau. La thématique était donc toute trouvée.
Voici la playsit de la semaine :
Jeanne Cherhal – l'eau
Elodie Frégé – de l'eau
Véronique Sanson – rien que de l'eau
Charles Trenet – la mer
Michel Fugain - Un jour en mer
Renaud – dès que le vent soufflera
Sacha Distel - Toute la pluie tombe sur moi
Pétula clark - La gadoue
Stefan Eicher – Rivière v
Plaisir coupable / Viktor Lazlo – Pleurer des rivières (cry me a river)
Sages comme des sauvages – de l'eau
Pomme – les cours d'eau
Les compagnons du temps – H2O
« La source » Alphonse Hasselmans

Et puis je vous ai écrit une petite chronique littéraire :
Un aller simple – Didier Van Cauwelaert

120 pages de délice.
J'avais déjà lu un Van Cauwelaert et j'étais curieuse de découvrir autre chose.
Je ne suis pas déçue. Enfin, si un peu, la larmichette aux dernières lignes. Je déteste refermer un bouquin qui m'a transportée, fait voyager. Et quel voyage. Un aller simple, oui. Vers la rêverie, les paysages désertiques, des oasis, la montagne et des amitiés improbables.
En très bref, c'est l'histoire d'Aziz, en irrégularité de papiers, qui se fait arrêter et renvoyer « chez lui ». Sauf que « chez lui » c'est Marseille, qu'il n'a rien connu d'autre et ne sait rien de ses racines.
Alors il baratine une histoire, une légende, et pointe au hasard, sa ville imaginaire, Irghiz, sur la carte. Et le voilà parti, direction le Maroc, dans le Haut-Atlas, à la recherche de sa cité cachée, perdue, en compagnie de son Attaché-Humanitaire.
J'aime la façon dont Didier Van Cauwelaert manie les mots et les styles. C'est fluide, rapide, ça sonne juste, ça sonne vrai et puis, c'est aussi plein de poésie et de tendresse.
L'histoire n'est pas récente et me semble pourtant encore bien contemporaine. Bref, une pépite qui a reçu le prix Goncourt en '94 et que je ne peux que vous recommander.